A l’époque, il y avait un monde fou…
Dans ce petit village, le coeur qui bat, c’est bien celui du cercle. Ils l’ont maintenu en vie un an, à vingt bénévoles qui se relayaient; maintenant ça y est, il y a un employé, le rythme est sauvegardé.
A l’époque , les bûcherons venaient manger le midi : la soupe, le café à faire réchauffer, ce qu’ils avaient porté.Pendant la chasse à la palombe, dans les cercles, c’était atroce.Il y avait un monde fou, on ne s’entendait plus parler…
(Isabelle Loubère / Histoire et vies des Cercles de Gascogne)